PERIGUEUX

HISTORIQUE / HISTORICAL / HISTORISCH / STORICO / HISTORICO / HISTORYCZNY :
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- Le 15/07/1851, mise en service de la ligne de 100 km entre Tours et Poitiers, par la Compagnie du PO.
- Le 20/09/1852, mise en service de la ligne de 133 km entre Angoulême et Bordeaux, par la Compagnie du PO.
- Le 28/07/1853, mise en service de la ligne de 113 km entre Angoulême et Poitiers, par la Compagnie du PO.
- Le 20/07/1857, mise en service de la ligne de 75 km entre Coutras et Périgueux, par la Compagnie du PO.
- Le 25/08/1859, mise en service de la ligne de 48 km entre Mont-de-Marsan et Riscle, par la Compagnie du Midi.
- Le 24/09/1859, mise en service de la ligne de 51 km entre Riscle et Tarbes, par la Compagnie du Midi.
- En 1860, mise en service du pont ferroviaire Eiffel sur la Garonne à Bordeaux.
- Le 17/09/1860, mise en service de la ligne de 72 km entre Périgueux et Brive-la-Gaillarde, par la Compagnie du PO.
- Le 26/08/1861, mise en service de la ligne de 98 km entre Limoges et Périgueux, par la Compagnie du PO.
- Le 10/11/1862, mise en service de la ligne de 97 km entre Brive-la-Gaillarde et Capdenac, par la Compagnie PO.
- Le 03/08/1863, mise en service de la ligne de 140 km entre Périgueux et Agen, par la Compagnie du PO.
- Le 28/08/1871, mise en service de la ligne de 26 km entre Brive-la-Gaillarde et Tulle, par la Compagnie PO.
- Le 20/12/1875, mise en service de la ligne de 81 km entre Nexon et Brive-la-Gaillarde, par la Compagnie PO.
- Le 04/12/1876, création de la Compagnie Internationale des Wagons-Lits et du Tourisme (CIWLT) / Gründung der Internationale Schlafwagen- und Touristik Gesellschaft (ISTG) / creazione della Compagnia Internazionale Carrozze con Letti e Turismo (CIWLT).
- Le 19/09/1880, mise en service de la ligne de 67 km entre Tulle et Ussel, par la Compagnie PO.
- Le 06/06/1881, mise en service de la ligne de 104 km entre Ussel et Clermont-Ferrand, par la Compagnie PO.
- Le 19/12/1881, mise en service de la ligne de 29 km entre Périgueux et Ribérac, par la Compagnie PO.
- Le 10/04/1884, mise en service de la ligne de 63 km entre Cahors et Montauban, par la Compagnie PO.
- Le 11/12/1884, mise en service de la ligne de 44 km entre Montauban et Saint-Sulpice -Tarn, par la Compagnie du Midi.
- Le 11/07/1886, mise en service de la ligne de 69 km entre Cahors et Capdenac, par la Compagnie PO.
- Le 15/11/1886, mise en service de la ligne de 74 km entre Marmande et Bergerac, par la Compagnie PO.
- Le 04/03/1888, mise en service de la ligne de 55 km entre Saint-Sulpice –Tarn et Castres, par la Compagnie du Midi.
- Le 27/08/1888, mise en service de la ligne de 30 km entre Bergerac et Mussidan, par la Compagnie PO.
- Le 14/04/1890, mise en service de la ligne de 31 km entre Mussidan et Ribérac, par la Compagnie PO.
- Le 23/04/1891, mise en service de la ligne de 25 km entre Marmande et Casteljaloux, par la Compagnie du Midi.
- Le 01/06/1891, mise en service de la ligne de 89 km entre Souillac, Brive-la-Gaillarde et Cahors, par la Compagnie PO.
- Le 17/09/1893, mise en service de la ligne de 96 km entre Brive-la-Gaillarde – Uzerche et Limoges, par la Compagnie PO.
- En 1905, pose de la passerelle en béton enjambant les voies de la gare de Périgueux.
- Le 01/06/1905, mise en service de la ligne de 44 km entre Felletin et Ussel, par la Compagnie PO.
- En 1908, le dépôt de Périgueux compte dans ses effectifs 12 locomotives à vapeur et à charbon du type Consolidation de la série 5001 à 5167 du PO, à savoir les n° 5033, 5037, 5089, 5107, 5112, 5113, 5124, 5125, 5145 et 5148 à 5150. Ces locomotives assurent le trafic sur Limoges, Coutras, Agen et Brive-la-Gaillarde.
- Le 20/10/1922, création de l’Union Internationale des Chemins de fer (UIC) / Gründung der Internationaler Eisenbahnverband / Creazione della Unione Internazionale delle Ferrovia, à Paris/Parigi.
- Le 17/01/1925, livraison par les Ateliers d’Epernay de la locomotive prototype à vapeur et à charbon du type Mountain 41001 de l’Est (future 24001 de l’Est, puis 241 A 1 de la SNCF) de 2.600 CV/PS.
- De 1930 à 1935, livraison par Fives-Lille, société Française de Construction Mécanique (SFCM) et Batignolles-Châtillon des 90 locomotives à vapeur et à charbon du type Mountain compound 241-002 à 241-041 de l’Est (la prototype 241-001 de l’Est déjà livrée en 1925) et 241-001 à 241-041 de l’Etat (puis 1-241 A 1 à 1-241 a 90 de la SNCF) de 2.600 CV/PS. La 1-241 A 7 est la seule de la série à avoir eût un échappement double.
- Le 02/02/1932, présentation de l’autorail prototype « Pauline » (1er autorail français à moteur diesel) de la Compagnie du Midi en gare de Bordeaux-Saint-Louis.
- Le 01/08/1936, création par l’Etat français du billet annuel de congés payés offrant 30% de réduction.
- Le 31/08/1937, parution du décret-loi instaurant la création de la SNCF.
- Le 01/01/1938, mise en place de la SNCF qui prend le relais des différents grands réseaux privés français.
- En été 1939, le dépôt de Périgueux compte dans ses effectifs des locomotives à vapeur et à charbon du type Consolidation de la série 140 C de la SNCF.
- Le 05/09/1939, la ville de Périgueux accueille de nombreux strasbourgeois qui avaient fui l’invasion allemande.
- De 1940 à 1950, livraison par les Aciéries du Nord (ADN), les Ateliers du Nord de la France (ANF) et la Société Alsacienne de Construction Mécaniques (SACM) des 115 locomotives à vapeur et à charbon du type Decapod de la série 150 P de la SNCF pour le trafic lourd de marchandises.
- Du 25/07/1942 au 21/03/1952, livraison des 318 locomotives à vapeur et à charbon du type Mikado compound de la série 141 P de la SNCF avec stocker et tender 34 P, 36P ou 36 Q. Conçues par l’ingénieur Chapelon, ces locomotives mixtes pour trains de voyageurs et de marchandises, furent économes en eau et en charbon, constituèrent la plus importante série de locomotive à vapeur commandée par la SNCF et furent les plus puissantes Mikado construites en France avec leur puissance de 3.000CV. A noter que la 141 P 289 radiée puis garée au dépôt de Mézidon en 1973 fut préservée dans un premier temps à la demande de l’AMFG de Grenoble qui lança avec son Président William LACHENAL une pétition pour sa sauvegarde, mais Monsieur Michel DOER, alors Directeur du Musée du Chemin de fer de Mulhouse décida de son propre chef de ne conserver que le bogie bissel Zara de cette locomotive et fit ferrailler le reste. Voilà pourquoi il ne subsiste plus aucun exemplaire conservé de la plus importante série de locomotive à vapeur de la SNCF.
- Le 11/11/1942, les troupes allemandes envahissent la zone libre.
- Le 13/12/1943, l’une des plus puissantes grues de lavage de la SNCF, en stationnement pour réparation à Périgueux, est détruite par l’un des nombreux actes de sabotages sont fait par la résistance locale.
- Le 19/08/1944, libération de la ville de Périgueux, abandonnée par les allemands sans destruction ni combat.
- Le 01/01/1945, le dépôt de Périgueux compte dans ses effectifs 19 locomotives à vapeur et à charbon du type Consolidation Baldwin de la série 140 B de la SNCF, à savoir les 140 B n° 8, 9, 33, 36, 50, 62, 73, 76, 87, 92, 100, 114, 115, 127, 128, 130, 136, 144 et 146, ainsi que la locomotive à vapeur et à charbon du type Consolidation 140 D 597 de la SNCF.
- De 1946 à 1947, livraison par Baldwin des 100 locomotives diesel-électrique de 660 CV/PS de la série 040 D1 1 à 040 DA 100 (futures A1A-A1A 82001 à A1A-A1A 62100) de la SNCF, dites « Yaya » ou « Mammouth ».
- En mai 1946, création de la relation directe MB/BM entre Lyon-Perrache et Bordeaux-Saint-Jean via Montluçon et Limoges (et retour) assurée par des autorails ABV du dépôt de Lyon-Vaise. Création de la relation directe MB/BM entre Bordeaux-Saint-Jean et Saint-Germain-des-Fossés via Clermont-Ferrand (et retour).
- Du 19/06/1948 au 26/07/1952, livraison des 35 locomotives à vapeur et à charbon du type Mountain compound de la série 241 P 1 à 35 de la SNCF avec stocker à vis et tender du type 34 P et quelques 36 P, et construites par la société Schneider au Creusot.
- En automne 1948, la relation directe SB/BS entre Bordeaux-Saint-Jean et Saint-Germain-des-Fossés via Clermont-Ferrand (et retour) est prolongée sur Lyon-Perrache et est assurée par un couplage d’autorails ABV (autorail double) + ABJ 4 de la SNCF.
- En 1949, création par la SNCF des régimes accélérés (RA) et ordinaires (RO) pour les trains de marchandises.
- En 1949, livraison par Alsthom des 2 locomotives électriques monocourant prototypes CC 7001 et CC 7002 de la SNCF, en livrée bicolore vert bleuté 313 et vert 312, avec double bande de ceinture en aluminium avec bandeau bleu entre les deux, avec fenêtres latérales en œil de bœuf. De ces deux prototypes fut déclinée par la suite les locomotives électriques monocourant de la série CC 7100 de la SNCF.
- Le 01/01/1950, le dépôt de Périgueux compte dans ses effectifs 9 locomotives à vapeur et à charbon du type Consolidation Baldwin de la série 140 B de la SNCF, à savoir les 140 B n° 24, 52, 62, 106, 114, 115, 126, 129 et 133.
- De 1951 à 1955, livraison par la Régie Renault et Decauville des autorails monocaisse diesel bimoteurs Renault 517G d’une puissance de 340 CV/PS = 250 kW chacun soit 680 CV/PS = 456 kW du type XAPDP 2400 de la série X 2401 à 2469 de la SNCF, dits U 600. Couplables entre eux avec marche en jumelage ou pouvant tracter des remorques, ils avaient une vitesse maximale de 120 km/h. L’X 2401 avait à sa sortie d’usine une livrée (rouge rubis et gris perle).
- En automne 1951, le dépôt de Périgueux reçoit dans ses effectifs ses premières locomotives à vapeur et à charbon du type Mikado de la série 141 E de la SNCF. Ce dépôt compte aussi dans ses effectifs des locomotives à vapeur et à charbon des séries Pacific 231 D pour trafic entre Périgueux et Bordeaux et Mikado 141 B de la SNCF. Les 141 E prennent en charge la traction des trains pour Limoges dont le dont le train de nuit GB/BG, l’omnibus 1653/1662 pour Agen via Le Buisson avec voitures directes de Paris, ainsi que des trains pour Brive-la-Gaillarde.
- Le 01/01/1952, le dépôt de Périgueux compte dans ses effectifs 10 locomotives à vapeur et à charbon du type Mikado de la série 141 E de la SNCF, à savoir les 141 E n° 25, 159, 253, 266, 316, 332, 522, 564, 581 et 660.
- Le 21/03/1952, livraison à la SNCF au dépôt de Thionville de son avant dernière locomotive à traction à vapeur de construction neuve, à savoir la locomotive à vapeur et à charbon 141 P 288.
- Le 20/09/1952, livraison à la SNCF de son ultime locomotive à traction à vapeur de construction neuve, à savoir la locomotive à vapeur et à charbon 151 TQ 22.
- De 1953 à 1964, livraison par Brissonneau & Lotz (BL) et Sulzer des 250 locomotives diesel-électrique avec moteur Sulzer de 445 kW de la série 040 DE 1 à 040 DE 108 (pour les 108 premières), futures BB 63001 à BB 63250 de la SNCF, en livrée vert-celtique 306 avec bandes jaune bouton d’or 411.
- En 1954, des autorails diesel Renault du type ADP 2 de la SNCF, tous les deux en livrée rouge vermillon 605 et crème 407 avec toit crème 407, circulent en gare de Périgueux.
- De 1954 à 1955, livraison par Alsthom et Fives-Lille/CEM d’une seconde tranche de 15 locomotives électriques monocourant CC 7144 à CC 7158 de la SNCF, en livrée bicolore vert bleuté 313 et vert 312, avec double bande de ceinture en aluminium avec bandeau bleu entre les deux, avec fenêtres latérales en œil de bœuf.
- Le 21/02/1954, la locomotive électrique monocourant CC 7121 de la SNCF, en livrée bicolore vert bleuté 313 et vert 312, avec double bande de ceinture en aluminium avec bandeau bleu entre les deux, avec fenêtres latérales en œil de bœuf, bat le record du monde de vitesse avec 223 km/h.
- Le 13/05/1954, un autorail spécial RGP-2 X 2701 + XR 7701 de la SNCF, en livrée en livrée vert-olive 314 et jaune-paille 410 avec toit vert-olive 314, du dépôt de Lyon-Vaise, effectue sa 2ème circulation officielle, quitte Lyon-Perrache à 9h30 via Roanne en direction de Bordeaux-Saint-Jean d’où elle repart le lendemain pour Lyon-Perrache.
- Le 01/07/1954, la relation directe MB/BM entre Lyon-Perrache – Montluçon – Limoges-Bénédictins – Bordeaux-Saint-Jean (et retour), assuré par les autorails bimoteurs diesel du type Rame à Grand Parcours quadricaisses RGP-2 de la série X 2700 + XR 7700 de la SNCF du dépôt de Lyon-Vaise, dits « Lézards verts », en livrée vert-olive 314 et jaune-paille 410 avec toit vert-olive 314, est amorcé à Genève, devient la relation GB/BG et couvre désormais 809 km (record de France pour un trajet réalisé par un autorail).
- Le 26/03/1955, la locomotive électrique monocourant BB 9004 de la SNCF, en livrée bicolore vert Reseda 209 pour la partie supérieure et vert foncé 310 pour la partie inférieure avec traverse de tête en rouge vif 601, tracte 3 voitures à voyageurs du type DEV AO 46, en livrée vert-celtique 306, et bat le record du monde de vitesse avec 276 km/h dans les Landes entre Lamothe et Morcenx sur la ligne Bordeaux – Dax.
- Le 28/03/1955, la locomotive électrique monocourant CC 7107 de la SNCF, en livrée bicolore vert bleuté 313 et vert 312, avec double bande de ceinture en aluminium avec bandeau bleu entre les deux, avec fenêtres latérales en œil de bœuf, tracte 3 voitures à voyageurs du type DEV AO 46, en livrée vert-celtique 306, circule à 320,6 km/h et bat le record du monde de vitesse, mais fut crédité officiellement par la suite du même temps que la BB 9004 atteint le lendemain avec 331 km/h dans les Landes par soucis d’égalité des constructeurs.
- Le 29/03/1955, la locomotive électrique monocourant BB 9004 de la SNCF, en livrée bicolore vert Reseda 209 pour la partie supérieure et vert foncé 310 pour la partie inférieure avec traverse de tête en rouge vif 601, tracte 3 voitures à voyageurs du type DEV AO 46, en livrée vert-celtique 306, et egale le record du monde de vitesse de la veille avec 331 km/h dans les Landes.
- Le 01/01/1956, le dépôt de Périgueux compte dans ses effectifs 10 locomotives à vapeur et à charbon du type Mikado de la série 141 E de la SNCF.
- En 1956, une locomotive à vapeur et à charbon du type Pacific ex-PLM de la série 231 G de la SNCF du dépôt de Bordeaux tracte un train de voyageurs en provenance de Bordeaux et repart de Périgueux en direction de Brive-la-Gaillarde avec 5 voitures dont une mixte fourgon à bogies placée en tête, suivie de deux autres voitures à bogies et de deux voitures à deux essieux.
- Du 20/02/1956 à 1971, livraison par Brissonneau & Lotz (BL) et SACM des 580 locomotives diesel-électrique avec moteur SACM MGO V12 SH de 450 kW de la série 040 DE 501 à 040 DE 790, futures BB 63501 à BB 64080 de la SNCF, en livrée vert-celtique 306 avec bandes jaune bouton d’or 411.
- Le 03/06/1956, suppression de la 3ème classe dans la plupart des pays européens dont l’Allemagne, l’Autriche, la France, l’Italie, les Pays-Bas et la Suisse, par la DB, les ÖBB, la SNCF, les FS, les NS et les CFF / Entfernung der 3. Klasse in den meisten europäischen Ländern, einschließlich Deutschland, Österreich, Frankreich, Italien, den Niederlanden und der Schweiz, durch DB, ÖBB, SNCF, FS, NS und SBB / Rimozione della 3a classe nella maggior parte dei paesi europei tra cui Germania, Austria, Francia, Italia, Paesi Bassi e Svizzera, da parte di DB, ÖBB, SNCF, FS, NS e FFS.
- De 1957 à 1964, livraison par Creusot-Loire, JM et CEM, des 92 locomotives électriques monocourant 1500 volts continus du type Jacquemin de 3850 kW de la série BB 9201 à 9292 de la SNCF, en livrée vert bleuté clair 313 d’origine avec enjoliveurs en aluminium et jupes de bas de caisse.
- Le 28/05/1957, mise en service de l’autorail monocaisse du type U 825 monomoteur diesel (MGO de 825 CV/PS) X 2801 de la SNCF au Centre Autorails de Carmaux, le 1er autorail de la série X 2800 de la SNCF, en livrée rouge-vermillon 605 et crème 407 avec toit crème 407.
- Le 02/06/1957, création des premiers trains luxueux rapides européens de type Trans Europ Express (TEE) / Schaffung der ersten Hochgeschwindigkeits-Luxuszüge, Typ European Trans Europ Express (TEE) / Realizzazione dei primi treni di lusso ad alta velocità, tipo European Trans Europ Express (TEE).
- En juillet 1957, un jumelage de 2 autorails monocaisse diesel des types ABV et ABJ 4 de la SNCF, tous deux en livrée rouge-vermillon 605 et crème 407 avec toit crème 407, assure l’Express BS Bordeaux-Saint-Jean – Lyon-Perrache via Clermont-Ferrand et Tarare.
- De 1958 à 1963, livraison par MTE des 62 locomotives électriques monocourant monophasée 25kV-50Hz d’une puissance de 4.130 kW du type Jacquemin BB 16001 à BB 16062 de la SNCF, en livrée vert bleuté clair 313 d’origine avec enjoliveurs en aluminium.
- Le 22/06/1958, un jumelage de l’autorail monocaisse diesel X 3609 de la SNCF et de l’autorail bicaisses diesel X 122 de la SNCF, tous deux en livrée rouge et crème avec toit crème, assure le train Express BS Bordeaux-Saint-Jean – Lyon-Perrache via Clermont-Ferrand et Tarare.
- En août 1958, les locomotives à vapeur et à charbon du type Mikado PLM 141 F 316 et 141 F 266 de la SNCF du dépôt de Périgueux stationne sous pression en relais en gare de Tulle.
- En août 1959, la locomotive à vapeur et à charbon du type Mikado PLM 141 F 288 de la SNCF du dépôt de Périgueux stationne sous pression en relais en gare de Tulle au côté de la locomotive-tender à vapeur 141 TA 411 de la SNCF du dépôt d’Ussel.
- Le 01/01/1960, le dépôt de Périgueux compte dans ses effectifs 10 locomotives à vapeur et à charbon du type Mikado de la série 141 E de la SNCF, à savoir les 141 E n° 159, 253, 352, 373, 457, 522, 562, 581, 611 et 660, 23 locomotives à vapeur et à charbon du type Mikado de la série 141 F de la SNCF, à savoir les 141 F n° 25, 96, 116, 121, 177, 214, 228, 266, 271, 275, 282 (aujourd’hui au musée du chemin de fer de Mulhouse), 288, 305, 309, 315, 316, 325, 330, 332, 380, 589, 590 et 612.
- De 1960 à 1962, livraison par les Ateliers du Nord de de la France (ANF) des 131 autorails bicaisses diesel du type Éléments Automoteurs Doubles (EAD) dits « Caravelle » avec moteur SSCM-Poyaud C 6150 de 235 kW et à transmission mécanique De Dietrich de la série X 4301 à X 4451 de la SNCF, en livrée rouge vermillon 605 et crème 407 avec toit crème 407 et, pour les premières de la série, de grandes baies vitrées pour la cabines de conduites.
- De 1960 à 1968, livraison en 3 sous-séries par CAFL, Alstom, CEM, SACM et Fives-Lille des 318 locomotives diesel-électrique avec moteur SACM-MGO (V16) BSHR de 830 kW de la série 040 DG 1 à 84 (pour les 84 premières) futures BB 66001 à BB 66318 de la SNCF, en livrée bleu-roi 203 et jaune-jonquille 401, puis en livrée bleues 205 + 206, blanc 703 et gris 807.
- Le 21/10/1960, le dépôt de Périgueux radie de ses effectifs la locomotive à vapeur et à charbon du type Mikado 141 E 352 de la SNCF, qui était en attente d’amortissement (AA).
- En 1961, la locomotive à vapeur et à charbon du type Mikado 141 E 641 de la SNCF du dépôt de Périgueux tracte le train de marchandises n° 7203 Périgueux – Agen via Le Buisson et Monsempron-Libos. La rame est composée d’une vingtaine de wagons de marchandises de types divers (couverts, tombereaux, plats, mais sans wagon citerne).
- Le 21/03/1961, le dépôt de Périgueux radie de ses effectifs les locomotives à vapeur et à charbon du type Mikado 141 E 611 et 141 F 116 de la SNCF, qui étaient en attente d’amortissement (AA).
- En mai 1961, un autorail diesel de la série X 3600 de la SNCF, tractant une remorque unifiée, tous deux en livrée rouge-vermillon 605 et crème 407 avec toit crème 407, assure un TA omnibus Périgueux – Bergerac via Le Buisson.
- En août 1961, les autorails diesel X 3810 (déjà réaménagé en 1ère classe) et X 122 du type ABV de la SNCF, tous deux en livrée rouge-vermillon 605 et crème 407 avec toit crème 407, assure l’Express SB Lyon-Perrache – Bordeaux-Saint-Jean via Clermont-Ferrand, Ussel et Tulle.
- Le 01/01/1962, renumérotation du parc moteur de la SNCF, avec par exemple, les 040 DE et 040 DG devenant respectivement BB 63000 et BB 66000 de la SNCF, et changement de certaines livrées du matériel roulant, avec par exemple, sur les voitures à voyageurs et les fourgons, le vert-celtique 306 est remplacé progressivement par le vert-wagon 301.
- En 1962, la relation directe SB/BS entre Bordeaux-Saint-Jean et Lyon-Perrache via Saint-Germain-des-Fossés et Clermont-Ferrand (et retour) est toujours assurée par un couplage d’autorails diesel des types ABV (bicaisses dit autorail double) et ABJ 4 de la série X 3600 de la SNCF, tous deux en livrée rouge-vermillon 605 et crème 407 avec toit crème 407.
- En été 1962, la locomotive à vapeur et à charbon du type Pacific ex-PLM 231 G 62 de la SNCF du dépôt de Bordeaux, tracte le train Express Bordeaux – Vichy via Périgueux.
- En septembre 1962, une locomotive à vapeur et à charbon du type Pacific ex-PLM de la série 231 G de la SNCF du dépôt de Bordeaux, tracte l’express Bordeaux – Vichy via Périgueux, avec une rame composée de voitures PO métallisées et de voitures DEV récentes.
- Le 28/09/1962, le dépôt de Périgueux radie de ses effectifs les locomotives à vapeur et à charbon du type Mikado 141 E 660, 141 F n° 316 et 330 de la SNCF qui étaient en attente d’amortissement (AA).
- En 1963, la locomotive à vapeur et à charbon du type Mikado PLM 141 F 228 de la SNCF du dépôt de Périgueux stationne sous pression à l’annexe traction d’Agen.
- De 1963 à 1968, livraison par Brissonneau & Lotz (BL) et MTE des 124 locomotives diesel-électrique avec moteur SEMT-Pielstick 16PA4 (V16) de 1525 kW de la série BB 67001 à BB 67124 de la SNCF, en livrée bleues 205 + 206, blanc 703 et gris 807, avec plaques reliefs, macarons rouges d’extrémités et fenêtres d’angles.
- De 1963 à 1968, livraison par CAFL, CEM et Fives-Lille des 85 locomotives diesel-électrique avec moteur Sulzer 12LVA24 de 1660 kW de la série A1A-A1A 68001 à 68085 de la SNCF, en livrée bleues 205 + 206, blanc 703 et gris 807, avec plaques reliefs, macarons rouges d’extrémités et fenêtres d’angles.
- De 1963 à 1968, livraison par CAFL, CEM et Fives-Lille des 40 locomotives diesel-électrique avec moteur AGO DHSR (V12) de 1645 kW de la série A1A-A1A 68501 à 68540 de la SNCF, en livrée bleues 205 + 206, blanc 703 et gris 807, avec plaques reliefs, macarons rouges d’extrémités et fenêtres d’angles.
- De 1963 à 1970, livraison par les Ateliers du Nord de de la France (ANF) des 126 autorails bicaisses diesel du type Éléments Automoteurs Doubles (EAD) dits « Caravelle » avec moteur Saurer SDHR de 330 kW et à transmission mécanique De Dietrich de la série X 4501 à X 4626 de la SNCF, en livrée rouge-vermillon 605 et crème 407 avec toit crème 407.
- En septembre 1963, une locomotive à vapeur et à charbon du type Mikado de la série 141 F de la SNCF, en livrée verte et noire avec filets rouges, tracte un train de marchandises Périgueux – Agen, composé de wagons divers avec en tête un wagon réfrigérant de la société STEF, en live blanche.
- En 1964, une locomotive à vapeur et à charbon du type Mikado de la série 141 F de la SNCF, en livrée verte et noire avec filets rouges, tracte un train de voyageurs Périgueux – Bordeaux – Saint-Jean.
- En 1964, la locomotive à vapeur et à charbon du type Mikado PLM 141 F 612 de la SNCF du dépôt de Périgueux stationne sous pression à l’annexe traction d’Agen.
- Le 21/01/1964, le dépôt de Périgueux radie de ses effectifs les locomotives à vapeur et à charbon du type Mikado 141 E n° 475 et 659 de la SNCF qui étaient en attente d’amortissement (AA).
- En mai 1964, les locomotives à vapeur et à charbon du type Mikado 141 F 266 et 141 F 315 de la SNCF du dépôt de Périgueux stationnent à celui de Limoges au côté de deux locomotives-tender à vapeur et à charbon de la série 141 TA, une locomotive électrique monocourant de la série BB 100 et une locomotive électrique monocourant de la série BB 8100 de la SNCF.
- En juin 1964, la locomotive à vapeur et à charbon du type Mikado 141 F 34 de la SNCF passe sur le pont tournant devant la remise du dépôt de Périgueux, tandis que la locomotive à vapeur et à charbon du type Mikado 141 F 457 de la SNCF quitte Périgueux en tête d’un train militaire en direction de Brive-la-Gaillarde avec 5 wagons transportant 5 chars blindés et plusieurs autres wagons divers.
- En juillet 1964, un autorail monocaisse diesel de la série X 3600 de la SNCF tractant une remorque unifiée, tous deux en livrée rouge-vermillon 605 et crème 407 avec toit crème 407, assure un TA omnibus Coutras – Périgueux.
- Le 04/09/1964, le dépôt de Périgueux radie de ses effectifs les locomotives à vapeur et à charbon du type Mikado 141 E n° 159, 481, 537 et 655 de la SNCF qui étaient en attente d’amortissement (AA).
- De 1965 à 1970, regroupement progressif au dépôt de Bordeaux de tous les autorails bicaisses RGP-2 de la série X 2701 à X 2720 + XR 7701 à XR 7720, en livrée vert-olive 314 et jaune-paille 410 avec toit vert-olive 314.
- De 1965 à 1975, livraison par MTE des 51 locomotives électriques bicourant 1.500 Volts CC et monophasée 25kV-50Hz d’une puissance de 3.400 kW du type Jacquemin BB 25201 à BB 25251 de la SNCF, en livrée vert bleuté clair 313 d’origine avec enjoliveurs en aluminium.
- Le 05/02/1965, le dépôt de Périgueux radie de ses effectifs les locomotives à vapeur et à charbon du type Mikado 141 E n° 597 et 641, 141 F n° 177, 275 et 325 de la SNCF qui étaient en attente d’amortissement (AA).
- Le 30/05/1965, la relation directe SB/BS Lyon – Clermont-Ferrand – Ussel – Brive-la-Gaillarde – Bordeaux (et retour), assuré par les autorails bicaisses du type RGP-2 de la série X 2700 + XR 7700 de la SNCF, en livrée en livrée vert-olive 314 et jaune-paille 410 avec toit vert-olive 314, du dépôt de Lyon-Vaise, est amorcé à Grenoble, couvre désormais 758 km et devient la relation Bordeaux – Isère et Isère – Bordeaux BI / IB.
- Le 23/07/1965, le dépôt de Périgueux radie de ses effectifs les locomotives à vapeur et à charbon du type Mikado 141 F n° 214, 305 et 380 de la SNCF qui étaient en attente d’amortissement (AA).
- En août 1965, la locomotive à vapeur et à charbon du type Mikado PLM 141 F 282 de la SNCF du dépôt de Périgueux (aujourd’hui au musée du chemin de fer de Mulhouse) tracte le train Express n° 2001 Paris – Ussel/Le Mont-Dore.
- En août 1965, la locomotive à vapeur et à charbon du type Mikado PLM 141 F 332 de la SNCF du dépôt de Périgueux manœuvre en gare de Tulle après avoir assuré la traction du train Express BV/VB depuis Périgueux via Brive-la-Gaillarde.
- En août et septembre 1965, le dépôt de Périgueux reçoit dans ses effectifs 4 locomotives à vapeur et à charbon du type Mikado de la série 141 E de la SNCF, à savoir les 141 E 51, 64, 86 et 369 en provenance du dépôt de Clermont-Ferrand.
- Le 31/12/1965, le dépôt de Périgueux radie de ses effectifs les locomotives à vapeur et à charbon du type Mikado 141 E n° 126 et 522 de la SNCF qui étaient en attente d’amortissement (AA).
- Le 01/01/1966, le dépôt de Périgueux compte dans ses effectifs 3 locomotives à vapeur et à charbon du type Mikado de la série 141 E de la SNCF, à savoir les 141 E n° 457, 562 et 581, 26 locomotives à vapeur et à charbon du type Mikado de la série 141 F de la SNCF, à savoir les 141 F n° 10, 12, 25, 34, 51, 64, 70, 86, 96, 171, 203, 214, 228, 266, 269, 271, 282 (aujourd’hui au musée du chemin de fer de Mulhouse), 288, 296, 299, 309, 315, 332, 589, 590 et 612.
- Le 03/05/1966, le dépôt de Périgueux radie de ses effectifs les locomotives à vapeur et à charbon du type Mikado 141 E 552, 141 F n° 34 et 228 de la SNCF qui étaient en attente d’amortissement (AA).
- Le 18/08/1966, le dépôt de Périgueux radie de ses effectifs les locomotives à vapeur et à charbon du type Mikado 141 E 457 et 141 F 288 de la SNCF qui étaient en attente d’amortissement (AA).
- Le 01/10/1966, le dépôt Périgueux transfert deux locomotives à vapeur et à charbon du type Mikado 141 F de la SNCF, à savoir les 141 F 25 et 266 avec leurs tenders 25 A 657 et 25 A 80, au dépôt de Montluçon.
- Fin 1966, le dépôt de Périgueux transfert une locomotive à vapeur de la série 230 G (Ten-Wheels USA) au dépôt de Montluçon.
- Le 23/12/1966, le dépôt de Périgueux radie de ses effectifs les locomotives à vapeur et à charbon du type Mikado 141 F n° 70, 269 et 315 de la SNCF, qui étaient en attente d’amortissement (AA).
- De 1967 à 1969, livraison par Brissonneau & Lotz (BL) et MTE des 70 (+ 20 BB 67000 transformées) locomotives diesel-électrique avec moteur SEMT-Pielstick 16PA4 (V16) de 1525 kW de la série BB 67301 à BB 67390 de la SNCF, en livrée bleues 205 + 206, blanc 703 et gris 807, avec plaques reliefs, logo SNCF relief allongé rouge d’extrémités.
- De 1967 à 1969, livraison par Jeumont-Schneider (JM), CEM et MTE, des 40 locomotives électriques monocourant 1500 volts continus du type Jacquemin de 3850 kW avec freinage rhéostatique de la série BB 9301 à 9340 de la SNCF, en livrée dite Oullins vert bleuté foncé 312 avec moustaches et bande latérale en blanc cassé 704, inscriptions et cercle de moustache frontale en jaune jonquille 401.
- Début 1967, le dépôt de Périgueux perd de ses effectifs 14 locomotives à vapeur et à charbon du type Mikado 141 F de la SNCF mutées au dépôt de Montluçon.
- En avril 1967, une rame bicaisses du type RGP2 de la série X 2700 + XR 7700 de la SNCF, dite « Lézard vert », en livrée vert-olive 314 et jaune-paille 410 avec toit vert-olive 314, avec remorque en tête, assure la relation IB (Isère – Bordeaux) Grenoble – Bordeaux-Saint-Jean via Lyon-Perrache, Clermont-Ferrand et Ussel.
- Le 18/04/1967, le dépôt de Périgueux radie de ses effectifs les locomotives à vapeur et à charbon du type Mikado 141 F n° 296 et 612 de la SNCF qui étaient en attente d’amortissement (AA).
- Le 29/05/1967, le dépôt de Périgueux perd de ses effectifs ses 5 dernières locomotives à vapeur et à charbon du type Mikado de séries 141 E et 141 F de la SNCF, à savoir les 141 E n° 425, 435 et 545, ainsi que les 141 F n° 282, 299 et 589, radiées en blocs à l’exception de la 141 F n° 282 transférée au dépôt de Montluçon et aujourd’hui conservée au musée du chemin de fer de Mulhouse (Cité du train).
- Le 16/10/1967, le dépôt de Périgueux transfert la locomotive à vapeur 040 TX 9 au dépôt de Montluçon.
- Le 20/12/1967, la locomotive diesel-électrique CC 72001 de la SNCF, en livrée bleues 205 + 206, blanc 703 et gris 807, avec plaques reliefs, macarons rouges d’extrémités et fenêtres d’angles, sort neuve de construction aux usines Alsthom de Belfort.
- De 1967 à 1974, livraison par Alstom et SACM des 92 locomotives diesel-électrique avec moteur SACM-MGO de 2650 kW de la série CC 72001 à CC 72092 de la SNCF, en livrée bleues 205 + 206, blanc 703 et gris 807, avec plaques reliefs, macarons rouges d’extrémités et fenêtres d’angles.
- Du 06 au 18/02/1968, Xe Jeux Olympiques d’hiver de Grenoble, inauguré par le Général Charles de Gaulle (Président de la République Française). Durant cette période, plusieurs trains spéciaux avaient pour origine Dortmund, Paris ou Genève (et retour) pour desservir la gare provisoire de « Grenoble-Olympique ».
- Du 17/05/1968 au 06/06/1968, longue grève des cheminots français de la SNCF sur les salaires et les conditions de travail dans le cadre des grèves générales de mai 1968 à caractère insurrectionnel.
- En 1969, pour la première fois en France, des turbotrains ont été mis en service entre Paris, Caen et Cherbourg. Il y eu d’abord ceux de la première génération (au nombre de 14 et construits en 1969) appelés Éléments à Turbine à Gaz (ETG) quadricaisses de la série T 1000 de la SNCF, en livrée chamois avec bandes blanches, et qui achevèrent leur carrière sur les étoiles ferroviaires de Grenoble, puis de Lyon. Vinrent ensuite ceux de la seconde génération (au nombre de 41 et construits en 1971) appelés Rames à Turbine à Gaz (RTG) à 5 éléments de la série T 2000 de la SNCF, en livrée jaune-turbo et gris-argent 160, dont 24 remplacèrent les ETG en 1975 à Caen. Les ETG furent mutés à Vénissieux et achevèrent leur carrière sur les nœuds ferroviaires de Lyon et de Grenoble (Sillon alpin de Valence à Genève dès 1975). Les RTG furent utilisées sur les grandes lignes transversales françaises non électrifiées comme Lyon – Strasbourg, puis Lyon- Nantes et enfin Lyon- Bordeaux. Aptes à 160 km/h, les rames à turbines à gaz, trop gourmandes en énergie furent retirées du service sur Lyon – Bordeaux à l’été 2003 et ferraillées en 2004, après avoir été complètement pillées et vandalisées à Vénissieux ce qui empêcha leur achat et leur modernisation en motorisation diesel normale par la Région Rhône-Alpes. Des rames de type RTG furent exportées en Egypte, en Iran et aux Etats Unis (dans ce dernier pays, après une première série réalisée en France, elles furent construites sous licence pour l’Amtrak avec un carénage spécifique des motrices d’extrémité).
- De 1969 à 1975, livraison par Alstom et MTE des 78 locomotives électriques monocourant de la série CC 6501 à CC 6578 de la SNCF, en 3 sous-séries, en livrée Arzens gris-métallisé 862, rouge-vermillon 605 avec bandeau orange 435, à l’exception de la 2ème sous-série des CC 6539 à CC 6559 de la SNCF, en livrée « Maurienne » vert bleuté foncé 312 avec bandes blanches et marquages jaunes, avec frotteurs latéraux pour prise de courant par 3ème rail.
- De 1969 à 1975, livraison par Brissonneau & Lotz (BL) et MTE des 232 locomotives diesel-électrique avec moteur SEMT-Pielstick de 1765 kW de la série BB 67401 à BB 67632 de la SNCF, en livrée bleues 205 + 206, blanc 703 et gris 807, avec plaques reliefs, logo SNCF relief allongé rouge d’extrémités.
- Le 25/02/1969, dernière circulation d’une locomotive à vapeur et à charbon du type Mikado de la série 141 P 245 de la SNCF du dépôt de Belfort, dernière machine de cette série en France, sur le réseau Est (ligne n° 4 Chaumont-Belfort).
- En août 1969, l’autorail monocaisse diesel X 3261 tractant une remorque unifiée, tous deux en livrée rouge-vermillon 605 et crème 407 avec toit crème 407, assure un TA Bordeaux-Saint-Jean – Périgueux.
- En mars 1970, la locomotive électrique bicourant CC 21001 de la SNCF, en livrée Arzens d’origine gris-métallisé 862, rouge-vermillon 605 avec bandeau orange 435, dotée de nouveaux types de pantographes, effectue des essais d’adhérence dans la plaine d’Alsace et atteint la vitesse maximale de 281 km/h, vitesse encore jamais attente sous courant monophasé.
- En août 1970, un autorail diesel de la série X 3600 de la SNCF, en livrée rouge-vermillon 605 et crème 407 avec toit rouge-vermillon 605, tractant une remorque unifiée, en livrée rouge-vermillon 605 et crème 407 avec toit crème 407, assure un TA omnibus Périgueux – Bergerac via Le Buisson.
- Du 27/09/1970 au 22/05/1971, on note la circulation des trains Express de 1ère classe IB (Isère – Bordeaux) Grenoble (09h50) – Bordeaux-Saint-Jean (20h32) via Lyon-Perrache (11h25/11h30), Vichy (13h38/13h40), Riom (14h06), Clermont-Ferrand (14h18/14h28), Laqueuille (15h44), Ussel, Brive-la-Gaillarde (18h00), Périgueux (10h07/19h11), et BI (Bordeaux – Isère) Bordeaux-Saint-Jean (08h01) – Grenoble (18h43) via Périgueux (09h18), Brive-la-Gaillarde (10h20), Ussel, Laqueuille (12h44), Clermont-Ferrand (13h56/14h01), Riom (14h11), Vichy (14h39), Lyon-Brotteaux (16h48) et Lyon-Perrache (16h56/17h17). Ces deux trains sont assurés par des rames automotrices diesel bicaisses du type RGP2 de 1ère classe de la série X 2700 + XR 7700 de la SNCF, en livrée vert-olive 314 et jaune-paille 410 avec toit vert-olive 314.
- Le 17/12/1970, dernière circulation de la relation directe GB/BG Genève – Lyon-Perrache – Montluçon – Limoges-Bénédictins – Bordeaux-Saint-Jean (et retour), assuré par les autorails quadricaisses RGP-2 de la série X 2700 + XR 7700 de la SNCF du dépôt de Lyon-Vaise, en livrée en livrée vert-olive 314 et jaune-paille 410 avec toit vert-olive 314.
- En 1971, la Compagnie Internationale des Wagons-Lits et du Tourisme (CIWLT) cesse l’exploitation de matériel roulant ferroviaire, époque où les voitures-lits furent mises en pool par divers réseaux sous le logo TEN Trans Euro Night, et ce jusqu’en 1995 où le pool TEN a été dissout / Internationale Schlafwagen- und Touristik Gesellschaft (ISTG). Die CIWL stellt den Betrieb von Schienenfahrzeugen ein, als Schlafwagen von verschiedenen Netzen unter dem TEN Trans Euro Night-Logo zusammengefasst wurden, bis 1995 der TEN-Pool aufgelöst wurde / il Compagnia Internazionale Carrozze con Letti e Turismo (CIWLT) cessa di gestire il materiale rotabile ferroviario, un tempo in cui i vagoni letto erano raggruppati da varie reti sotto il logo TEN Trans Euro Night, fino al 1995, quando il pool TEN è stato sciolto.
- De 1971 à 1977, livraison par les Ateliers du Nord de de la France (ANF) des 115 autorails bicaisses diesel du type Éléments Automoteurs Doubles (EAD) dits « Caravelle » avec moteur Saurer SDHR de 330 kW et à transmission hydraulique Voith de la série X 4630 à X 4744 de la SNCF, en livrée rouge-vermillon 605 et crème 407 avec toit rouge-vermillon 605.
- De 1971 à 1978, livraison par Alsthom et MTE des 65 locomotives électriques monocourant monophasé 25kV-50 Hz d’une puissance de 4400 kW de la série BB 15001 à BB 15065 de la SNCF, avec à l’origine les 5 premières en livrée « Maurienne » vert bleuté foncé 312 avec liserés blancs, les suivantes en livrée Arzens d’origine gris-métallisé 862, rouge-vermillon 605 et orange 435.
- Le 22/05/1971, dernière circulation de la relation directe IB/BI Grenoble – Lyon-Perrache – Clermont-Ferrand – Ussel – Brive-la-Gaillarde – Bordeaux-Saint-Jean (et retour), assuré par les autorails bicaisses « Lézard vert » du type RGP-2 de la série X 2700 + XR 7700 de la SNCF du dépôt de Lyon-Vaise, en livrée vert-olive 314 et jaune-paille 410 avec toit vert-olive 314.
- Le 23/05/1971, nouvelle numérotation des trains de voyageurs et de fret à la SNCF.
- Le 26/09/1971, au service d’hiver 1971/1972, la traction diesel prend définitivement le relais de la traction à vapeur et entraine la fin des locomotives à vapeurs du type Mikado de la série 141 R de la SNCF du dépôt de Bordeaux.
- Le 26/09/1971, fermeture de la ligne sur Cahors – Monsempron – Libos, par la SNCF.
- Le 01/01/1972, en France, création des Schémas Régionaux de Transports (SRT) par l’Etat / in Frankreich Schaffung staatlicher Verkehrssysteme (SRT) durch den Staat / in Francia, creazione di Regimi di trasporto regionale (SRT) da parte dello Stato.
- Le 30/09/1973, mise en service des turbotrains du type Rames à Turbine à Gaz (RTG) à 5 éléments de la série T 2000 de la SNCF, en livrée jaune-turbo et gris-argent 160, assurant 5 allers et retour entre Lyon et Strasbourg, 1 Lyon – Besançon et 4 Lyon – Nantes via Bourges et Tours.
- En 1974, fin de la circulation des autorails Renault de type ADP 2 en gare de Périgueux.
- Le 26/05/1974, mise en service de turbotrains de type Rames à Turbine à Gaz (RTG) à 5 éléments de la série T 2000 de la SNCF, en livrée jaune-turbo et gris-argent 160, assurant 2 allers et retour entre Lyon et Bordeaux (639 km) via Montluçon et Limoges (itinéraire nord).
- En avril 1975, une rame automotrice diesel quadricaisses du type RGP2 de la série X 2700 + XR 7700 de la SNCF, en livrée vert-olive 314 et jaune-paille 410 avec toit vert-olive 314, assure la relation BI 4540/4541 Bordeaux-Saint-Jean – Grenoble via Périgueux et Lyon-Perrache.
- En 1976, la Région Rhône-Alpes signe son 1er Schéma Régional de Transports (SRT).
- De 1976 à 1985, livraison par Alsthom et MTE des 240 locomotives électriques monocourant 1500 volts continus d’une puissance de 4040 kW de la série BB 7201 à BB 7440 de la SNCF, toutes en livrée béton gris-ciment 804 avec bande orange 435.
- De 1976 à 1986, livraison par Alsthom et MTE des 205 locomotives électriques bicourant d’une puissance de 4040 kW de la série BB 22201 à BB 22405 de la SNCF, toutes en livrée béton gris-ciment 804 avec bande orange 435.
- En 1977, mise en service des 1ères des 290 nouvelles voitures-couchettes Corail climatisées de 2ème classe de la SNCF.
- En 1977, mise en service de 20 voitures Am 61 85 19-00 000 à 019 VSE Eurofima 1ère classe des CFF (SBB/FFS) dites Voitures Standards Européennes (VSE) avec climatisation pour trafic international et dotée de la nouvelle livrée fluo orange C1 avec bande blanche, aptes à la vitesse maximale de 200 km/h.
- Le 03/04/1978, mise en service du compostage des billets et suppression des tickets de quai et du contrôle des billets à l’entrée et à la sortie des gares.
- Le 30/09/1979, fermeture de la ligne sur Felletin – Ussel, par la SNCF.
- De mai 1980 à mai 1988, livraison par les Ateliers du Nord de de la France (ANF-Industrie) des 168 automotrices électriques bicaisses du type Z2 avec attelage automatique Scharfenberg, d’une puissance 1275 kW pour les unités en courant continu des séries express Z 7301 à 7373 (+ 2 exemplaires régionaux) et omnibus Z 7501 à Z 7515 de la SNCF ou bicourant des séries express Z 9501 à 9518 (+ 1 exemplaire régional) et omnibus Z 9601 à 9636 de la SNCF, et de 1200 kW pour celles en courant monophasé de la série omnibus Z 11501 à 11522. Les remorques ZR ont le chiffre 1 précédant le numéro de la motrice par exemple ZR 111501 pour la motrice 11501. Elles sont toutes en livrée bleu-violet 229, rouge-vermillon 605 et gris 847, à l’exception des quelques rames régionales.
- En 1981, essais sans suite d’un turbotrain à 5 éléments du type Rame à Turbine à Gaz (RTG) de la série T 2000 de la SNCF du dépôt de Vénissieux, en livrée orange-turbo et gris-argent 160, sur la relation Lyon-Perrache – Bordeaux-Saint-Jean via Clermont-Ferrand, Ussel et Tulle (itinéraire sud).
- Le 26/09/1982, création du train le « Ventadour » sur la relation Lyon-Perrache – Bordeaux-Saint-Jean via Clermont-Ferrand avec rebroussement à Tulle, Brive-la-Gaillarde et Périgueux (et retour) assuré par une rame Corail tractée par une locomotive diesel-électrique de la série CC 72000 de la SNCF du dépôt de Vénissieux, toutes en livrée bleues 205 + 206, blanc 703 et gris 807.
- Le 30/12/1982, en France, promulgation de la Loi d’Orientation des Transports Intérieurs (LOTI) / in Frankreich, Verkündung des französischen Binnenverkehrsorientierungsgesetzes (LOTI) / in Francia, promulgazione della Legge francese di orientamento sui trasporti interni (LOTI).
- Le 01/01/1983, la SNCF devient un Etablissement Public Industriel et Commercial (EPIC) / Die SNCF wird zu einer öffentlichen Industrie- und Handelseinrichtung (EPIC) / SNCF diventa un istituto industriale e commerciale pubblico (EPIC).
- En mai 1986, un autorail diesel RGP2 bicaisses, en livrée RTG jaune-turbo et gris-argent 160, assure une relation Bordeaux-Saint-Jean – Grenoble via Périgueux, Limoges et Lyon-Perrache.
- Le 28/09/1986, le réseau EuroCity (EC) compte 54 paires de trains européens / Das EuroCity (EC) -Netz verfügt über 54 europäische Zugpaare / la rete EuroCity (EC) ha 54 coppie di treni europei.
- Le 04/10/1986, l’autorail monocaisse monomoteur diesel X 2801 de la SNCF du dépôt de Limoges, en livrée bleue 202, gris 804 et blanc 708 avec toit bleu 202, avec remorques XR 6000, assure une relation Bordeaux-Saint-Jean – Lyon-Perrache via Périgueux, Brive-la-Gaillarde, Ussel, Tulle et Clermont-Ferrand. Lors de l’arrêt en gare de Périgueux sur la voie 1, l’autorail monocaisse bimoteurs diesel X 2401 de la SNCF, en livrée rouge-vermillon 605 et crème 407 avec toit rouge-vermillon 605, avec remorque, stationne sur la voie 3 d’où il relève la correspondance à destination d’Agen.
- Le 04/10/1986, l’autorail monocaisse bimoteurs diesel X 2401 de la SNCF, en livrée rouge-vermillon 605 et crème 407 avec toit rouge-vermillon 605, avec remorque, assure une relation Périgueux – Agen.
- Du 18/12/1986 au 15/01/1987, longue grève des cheminots français de la SNCF sur les salaires et les conditions de travail.
- Le 23/05/1987, création du label européen EuroNight (EN) / Gründung des europäischen Labels EuroNight (EN) / creazione del marchio europeo EuroNight (EN).
- Le 31/05/1987, le réseau EuroCity (EC) compte 64 paires de trains européens / Das EuroCity (EC) -Netz verfügt über 64 europäische Zugpaare / la rete EuroCity (EC) ha 64 coppie di treni europei.
- Fin 1987, le dépôt de Limoges perd la totalité de ses autorails de la série X 2400 au profit d’autorails de la série X 2200 neufs.
- De 1988 à 1998, livraison par Alsthom et MTE des 234 locomotives électriques bicourant d’une puissance de 5600 kW de la série BB 26001 à BB 26234 de la SNCF, toutes en livrée béton gris-ciment 804 et orange 435.
- En 1989, mise en service des dernières des 3.892 nouvelles voitures Corail climatisées de 1ère et 2ème classe de la SNCF.
- En avril 1990, la locomotive diesel-électrique CC 72008 de la SNCF, en livrée bleues 205 + 206, blanc 703 et gris 807, avec plaques reliefs et macarons rouges d’extrémités, assure la traction du train Corail n° 6890 « Le Ventadour » Bordeaux-Saint-Jean – Lyon-Perrache via Tulle, Ussel et Clermont-Ferrand.
- Le 30/09/1990, mise en service de la Ligne à Grande Vitesse (LGV-Atlantique branche Aquitaine) de 86 km entre Courtalain Bif. et Vouvray, par la SNCF.
- Le 30/09/1990, mise en service de la Ligne à Grande Vitesse (LGV-Atlantique contournement de Tours) de 22 km entre Vouvray et Monts, par la SNCF.
- En octobre 1990, la locomotive diesel-électrique CC 72040 de la SNCF, en livrée bleues 205 + 206, blanc 703 et gris 807, avec plaques reliefs avec macaron rouge à l’avant, tracte le train Corail n° 6890 « Le Ventadour » Bordeaux-Saint-Jean – Lyon-Perrache via Tulle, Ussel et Clermont-Ferrand.
- En juillet 1991, la locomotive diesel-électrique CC 72056 de la SNCF, en livrée bleues 205 + 206, blanc 703 et gris 807, avec logo SNCF nouille, tracte le train n° 6891/0 Lyon-Perrache – Bordeaux-Saint-Jean via Clermont-Ferrand, Ussel, Tulle et Brive-la-Gaillarde, composé d’une rame homogène de voitures su type Corail, en livrée d’origine.
- En mars 1992, la locomotive diesel-électrique CC 72057 de la SNCF, en livrée bleues 205 + 206, blanc 703 et gris 807, avec plaques reliefs et macarons SNCF rouges d’extrémités, assure la traction du train Corail n° 6890 « Le Ventadour » Bordeaux-Saint-Jean – Lyon-Perrache via Tulle, Ussel et Clermont-Ferrand, composé d’une rame homogène de voitures su type Corail, en livrée d’origine.
- En avril 1992, la locomotive diesel-électrique CC 72054 de la SNCF, en livrée bleues 205 + 206, blanc 703 et gris 807, avec plaques reliefs et macarons SNCF rouges d’extrémités, assure la traction du train Corail n° 6890 « Le Ventadour » Bordeaux-Saint-Jean – Lyon-Perrache via Tulle, Ussel et Clermont-Ferrand, composé d’une rame homogène de voitures su type Corail, en livrée d’origine.
- En août 1992, la locomotive diesel-électrique CC 72025 de la SNCF, en livrée bleues 205 + 206, blanc 703 et gris 807, avec plaques reliefs et macarons SNCF rouges d’extrémités, tracte le train Corail n° 6890 « Le Ventadour » Bordeaux-Saint-Jean – Lyon-Perrache via Brive-la-Gaillarde, Tulle, Ussel et Clermont-Ferrand, composé d’une rame homogène de six voitures du type Corail, toutes en livrée d’origine.
- En 1993, création des Trains Express Régionaux (TER) par les Régions françaises et la SNCF / Schaffung von Regional Express Trains (TER) durch die französischen Regionen und die SNCF / creazione di treni espressi regionali (TER) da parte delle regioni francesi e SNCF.
- En juin 1993, la locomotive diesel-électrique CC 72055 de la SNCF, en livrée bleues 205 + 206, blanc 703 et gris 807, avec plaques reliefs et macarons rouges d’extrémités, tracte le train « Le Ventadour » Bordeaux-Saint-Jean – Lyon-Part-Dieu via Brive-la-Gaillarde, Tulle, Ussel et Clermont-Ferrand, composé d’une rame homogène de 5 voitures du type Corail, toutes en livrée d’origine.
- En octobre 1993, la locomotive diesel CC 72021 de la SNCF, en livrée bleues 205 + 206, blanc 703 et gris 807, tracte le train le « Ventadour » reliant Bordeaux-Saint-Jean à Lyon-Part-Dieu via Brive-la-Gaillarde, Tulle, Ussel et Clermont-Ferrand, composé d’une rame homogène de voitures du type Corail, toutes en livrée d’origine.
- En mai 1994, la locomotive diesel-électrique CC 72065 de la SNCF, en livrée bleues 205 + 206, blanc 703 et gris 807, avec plaques reliefs et macarons rouges d’extrémités, assure la traction du train Corail n° 6890 « Le Ventadour » Bordeaux-Saint-Jean – Lyon-Part-Dieu via Ussel et Clermont-Ferrand, composé d’une rame homogène de six voitures du type Corail, toutes en livrée d’origine.
- Le 07/11/1994, le train Corail n° 6890 « Le Ventadour » reliant Bordeaux-Saint-Jean à Lyon-Part-Dieu, via Brive-la-Gaillarde, Tulle, Ussel, Clermont-Ferrand, ne circule plus que le vendredis où il est prolongé sur Grenoble. Cependant ce train continuera de circuler tous les jours l’été suivant.
- En 1995, dissolution du pool Trans Euro Night (TEN) / 1995 Auflösung des Trans Euro Night (TEN) Pools / Nel 1995, scioglimento del pool Trans Euro Night (TEN).
- En 1995, mise en service des 1ères voitures rénovées Corail Plus climatisées de 1ère et 2ème classe de la SNCF.
- En été 1995, le train Corail n° 6890 le « Ventadour » Bordeaux-Saint-Jean – Grenoble via Lyon-Part-Dieu, circule tous les jours. Grenoble (9h30) – Lyon-Part-Dieu (10h40/11h13) – Clermont-Ferrand (14h02/14h04) – Bordeaux-Saint-Jean (20h20) avec en sens inverse Bordeaux-Saint-Jean (7h45) – Clermont-Ferrand (13h54) – Lyon-Part-Dieu (16h45/17h00) – Grenoble (18h10). Sa traction est assurée par une locomotive diesel-électrique de la série CC 72000 de la SNCF, toutes en livrée bleues 205 + 206, blanc 703 et gris 807.
- Du 24/11/1995 au 15/12/1995, longue grève des cheminots français de la SNCF sur le projet de réforme des régimes spéciaux.
- De 1996 à 2002, livraison par Alsthom des 30 locomotives électriques tricourant d’une puissance de 5600 kW de la série BB 36001 à BB 36030 de la SNCF, en livrée rouge-vermillon 605, blanc 701 et gris-orage 844, ou en livrée fret vert-jade 323, blanc 701 et gris-orage 844, toutes livrée au dépôt de Lens de janvier 1997 à décembre 2004.
- Le 10/03/1996, un turbotrain du type Rame à Turbine à Gaz (RTG) à 5 éléments de la série T 2000 de la SNCF, en livrée orange-turbo et gris-argent 160, assure le train n° 6880/1 sur la relation Lyon – Bordeaux via Montluçon et Limoges-Bénédictins.
- En 1997, six Régions expérimentent la régionalisation ferroviaire, à savoir l’Alsace, le Centre, le Nord-Pas-de-Calais, les Pays-de-la-Loire, Provence-Alpes-Côte-d’Azur et Rhône-Alpes.
- En mars 1998, l’automoteur diesel-électrique du type X-TER bicaisses X 72517/518 de la SNCF, en livrée TER gris-argent 806 et bleu, assure le TER n° 97565 Limoges-Bénédictins – Périgueux – Bordeaux-Saint-Jean.
- En mars 1998, l’automoteur diesel-électrique du type X-TER bicaisses X 72521/522 de la SNCF, en livrée TER gris-argent 806 et bleu, assure le TER n° 97585 Limoges-Bénédictins – Périgueux – Bordeaux-Saint-Jean.
- Le 01/01/1999, le parc moteur de la SNCF est réparti entre les différentes activités par ajout d’un 6ème chiffre précédant le numéro de série : 1 pour Grandes Lignes (GL), 4 pour le Fret, 5 pour la Direction de l’Action Régionale (DAR et les TER, 6 pour l’Infrastructure (Infra), et 8 pour la Région Ile de France (DIF). Par exemple, une CC 72000 devient CC 172000 pour Grandes ligne ou CC 472000 pour le Fret. Cette renumérotation tient également compte de la numérotation européenne à 6 chiffres souvent suivi d’un tiret et d’un chiffre clef de contrôle.
- En 1999, la Région Limousin rallie les six Régions qui expérimentent la régionalisation ferroviaire.
- Le 30/01/1999, un turbotrain du type Rame à Turbine à Gaz (RTG) à 5 éléments de la série T 2000 de la SNCF, en livrée orange-turbo et gris-argent 160, assure le train n° 6380/1 sur la relation Bordeaux-Saint-Jean – Lyon-Perrache via Montluçon et Limoges-Bénédictins.
- Le 05/07/2000, le turbotrain du type Rame à Turbine à Gaz (RTG) à 5 éléments de la série T 2000 de la SNCF, T 2033/2034 de la SNCF, en livrée orange-turbo et gris-argent 160, assure une relation Bordeaux-Saint-Jean – Lyon-Part-Dieu via Limoges-Bénédictins, Guéret et Montluçon.
- De 2001 à 2006, livraison par Alsthom des 180 locomotives électriques bicourant du type Prima d’une puissance de 4800 kW de la série BB 27001 à BB 27180 de la SNCF, toutes en livrée fret vert-jade 323, blanc 701 et gris-orage 844.
- Le 27/04/2001, le turbotrain du type Rame à Turbine à Gaz (RTG) à 5 éléments de la série T 2000 de la SNCF, RTG T 2031/2032 de la SNCF, en livrée orange-turbo et gris-argent 160, assure une relation Bordeaux-Saint-Jean – Lyon-Part-Dieu via Limoges-Bénédictins et Guéret.
- Le 01/01/2002, mise en place de (Inbetriebsetzung/messa in servizio di) l’Euro en remplacement du (in Ersetzung von/in sostituzione di) Mark allemand (Deutschemark) et (und/e) du Franc français (Französisches Franc/Franc della Francia).
- Le 01/01/2002, en France, la loi SRU transfert la compétence du transport ferroviaire à toutes les Régions / In Frankreich überträgt das SRU-Gesetz die Zuständigkeit des Schienenverkehrs auf alle Regionen / in Francia, la legge SRU trasferisce la competenza del trasporto ferroviario a tutte le Regioni.
- Le 23/08/2002, le turbotrain du type Rame à Turbine à Gaz (RTG) à 5 éléments de la série T 2000 de la SNCF, T 2013/2014 de la SNCF, en livrée orange-turbo et gris-argent 160, dite « Casque jaune » avec toiture jaune au-dessus du poste de conduite, assure la relation n° 4580/4581 Lyon-Part-Dieu – Bordeaux-Saint-Jean via Guéret et Limoges-Bénédictins.
- En 2003, mise en service des 1ères des 430 voitures rénovées Corail Téoz climatisées de 1ère et 2ème classe de la SNCF.
- En été 2003, la locomotive diesel-électrique CC 72091 de la SNCF, en livrée bleues 205 + 206, blanc 703 et gris 807, avec logo SNCF nouille avec blason, tracte de bout en bout le train n° 4490/1 le « Ventadour » Bordeaux-Saint-Jean – Grenoble via Brive-la-Gaillarde, Tulle, Ussel, Clermont-Ferrand et Lyon-Part-Dieu, composé de 5 voitures du type Corail, panachées en livrée d’origine ou Intercités gris deux tons.
- Le 12/08/2003, la locomotive diesel-électrique CC 72059 de la SNCF, en livrée bleues 205 + 206, blanc 703 et gris 807, avec logo SNCF nouille, tracte de bout en bout le train n° 4490/1 le « Ventadour » Bordeaux-Saint-Jean – Grenoble via Brive-la-Gaillarde, Tulle, Ussel, Clermont-Ferrand et Lyon-Part-Dieu, composé de 4 voitures du type Corail.
- En septembre 2003, la locomotive diesel-électrique CC 72071 de la SNCF, en livrée bleues 205 + 206, blanc 703 et gris 807, avec logo SNCF nouille, tracte de bout en bout le train n° 4490/1 le « Ventadour » Bordeaux-Saint-Jean – Grenoble via Brive-la-Gaillarde, Tulle, Ussel, Clermont-Ferrand et Lyon-Part-Dieu, composé de 5 voitures du type Corail Intercités.
- Le 11/12/2004, dernière circulation d’un turbotrain de type Rame à Turbine à Gaz (RTG) de la SNCF, en livrée orange-turbo et gris-argent 160, entre Lyon et Bordeaux via Montluçon, Guéret et Limoges-Bénédictins.
- Le 12/12/2004, suppression du train «Le Ventadour » Bordeaux-Saint-Jean – Grenoble via Lyon-Part-Dieu, Clermont-Ferrand et Ussel, remplacé par une relation Bordeaux – Clermont-Ferrand (en fin de semaine d’été uniquement) et par une relation quotidienne Clermont-Ferrand – Grenoble via Roanne et Lyon.
- Le 12/12/2004, mise en service de rames Corail tractées par des locomotive diesel-électrique de la série BB 67400 de la SNCF entre Lyon et Bordeaux-Saint-Jean via Brive-la-Gaillarde.
- Fin 2004, la locomotive diesel-électrique BB 67431 de la SNCF, en livrée « multiservices » gris-argent 806 et rouge-vermillon 605, tracte un train Lyon – Bordeaux, composé d’une rame de 5 voitures du type Corail.
- En 2006, la SNCF met en place l’appellation « Intercités » en lieu et place de celle de « Corail Intercités ».
- En 2006, circulation d’un train direct entre Lyon et Bordeaux via Brive-la-Gaillarde, le vendredi et le dimanche, formé d'une rame de voitures Corail tractée par des locomotives diesel-électrique de la série BB 67400 de la SNCF.
- De 2007 à 2012, livraison par Alsthom et Siemens des 99 locomotives diesel-électrique avec moteur MTU (16V) d’une puissance de 1600 kW de la série BB 75001 à BB 75099 de la SNCF, principalement en livrée fret vert-jade 323, blanc 701 et gris orage 844, certaines en livrée Infra jaune bouton d’or 411 avec liséré rouge-carmillon.
- Le 03/04/2007, à 13h13, la rame automotrice électrique (elektrische Triebwagen/l’automotrice elettrica) TGV V150 de la (der/delle) SNCF bat le record du monde de vitesse sur rail (den Shienengeschwindigkeit Weltrekord schlagt/batte le primato mondiale di velocità sù dalle rotaie) avec (mit/con) 574,8 km/h atteints sur la (erreichte am/raggiungere sul) LGV Est-Européenne (Osteuropäisches NBS/LGV dell'Europa orientale).
- En juillet 2007, la locomotive diesel-électrique BB 67615 de la SNCF, en livrée bleues 205 + 206, blanc 703 et gris 807, tracte le train « Le Ventadour » Bordeaux-Saint-Jean – Clermont-Ferrand, composé d’une rame de 3 voitures du type Corail Intercités, en livrée gris deux tons avec bandes blanches.
- Les 23 et 24/10/2007, marches d’essais d’automoteurs diesel de la série X 72500 (bicaisses du Limousin et tricaisses de Rhône-Alpes) de la SNCF sur la relation transversale Lyon – Bordeaux via Montluçon, Guéret, Limoges et Périgueux afin de remplacer les rames Corail tractées par des BB 67400 de la SNCF.
- Le 08/12/2007, dernier jour de circulation des rames Corail tractées par des locomotives diesel-électrique de la série BB 67400 de la SNCF entre Lyon-Part-Dieu et Bordeaux-Saint-Jean via Montluçon, Guéret, Limoges-Bénédictins et Périgueux.
- Le 09/12/2007, mise en service d’automoteurs de la série X 72500 (bicaisses du Limousin et tricaisses de Rhône-Alpes) sur la relation transversale Lyon – Bordeaux via Montluçon, Guéret, Limoges et Périgueux.
- Le 03/05/2008, une UM2 de 2 rames automotrices diesel avec la rame tricaisses X 72531 de la SNCF, en livrée Kaléidoscope Rhône-Alpes, et bicaisses de la série X 72500 de la SNCF, en livrée TER Limousin, assure le train CIC n° 4580 Lyon-Part-Dieu – Bordeaux-Saint-Jean via Gannat, Montluçon et Limoges-Bénédictins.
- Le 11/05/2008, une UM2 de 2 automoteurs diesel tricaisses de la série X 72500 (dont l’X 72531, en livrée Kaléidoscope Rhône-Alpes) de la SNCF assurent le CIC n° 4580 Lyon-Part-Dieu – Bordeaux-Saint-Jean via Montluçon, Guéret, Limoges-Bénédictins et Périgueux.
- Le 11/05/2008, mise en service de 2 des 4 voies du nouveau pont ferroviaire sur la Garonne à Bordeaux. Une UM2 des 2 TGV-A 354 et 301 vides arrivant de Libourne est le 1er train à franchir le nouvel ouvrage, suivi du 1er train transportant des voyageurs est le TER n° 865749 en provenance de Sarlat assuré par une rame composée des X 2221 + XR6154 + XR 6159 + X 2222 de la SNCF.
- Le 07/05/2009, la locomotive diesel-électrique BB 67628 de la SNCF, en livrée « en voyage », tracte le train Clermont-Ferrand – Bordeaux-Saint-Jean via Ussel, composé de 4 voitures du type Corail Intercités.
- Le 28/06/2009, une UM3 de 3 autorails monocaisse monomoteur diesel de la série X 73500 de la SNCF, tous trois en livrée TER bleue et grise d’origine, assure un TER Périgueux – Agen.
- Le 28/06/2009, une UM d’autorails X 73500 (X 73729 en tête), tous deux en livrée TER bleue et grise d’origine, assure un TER Périgueux – Agen.
- En 2011, circulation les vendredis d’un train Intercités direct aller-retour Bordeaux-Saint-Jean – Ussel en rame Corail sous le numéro 4490 à l'aller et 4591 au retour, et circulation d’un train Intercités Bordeaux – Clermont-Ferrand à l’aller le samedi sous le numéro 4592 et au retour le dimanche sous le numéro 4595 en rame corail. Ces trains sont tractés par des locomotives diesel-électriques de type BB 67400.
- Le 02/01/2012, la SNCF abandonne la dénomination Lunéa au profit de celle plus générale d’Intercités.
- Le 10/07/2013, l’automoteur diesel-électrique X 72513/514, en livrée TER Limousin, assure une relation Bordeaux-Saint-Jean – Limoges-Bénédictins via Périgueux.
- Le 21/10/2013, une UM2 des 2 locomotives diesel-électrique BB 67443 de la SNCF, en livrée « en voyage », et une autre de la série BB 67400 de la SNCF, en livrée bleues 205 + 206, blanc 703 et gris 807, avec logo SNCF casquette, tracte le train CIC « Ventadour » Bordeaux-Saint-Jean – Clermont-Ferrand via Ussel, composé d’une courte rame de 3 voitures du type Corail, en livrée Intercités gris deux tons.
- Le 13/12/2013, signature de la convention sur les Trains d’Equilibre du Territoire (TET) entre l’Etat français et la SNCF.
- Le 02/06/2014, la locomotive diesel-électrique BB 67432 de la SNCF, en livrée « multiservices » gris-métallisé et rouge-vermillon 605, tracte pour quelques jours encore au départ de Clermont-Ferrand le train le « Ventadour » Clermont-Ferrand – Bordeaux-Saint-Jean via Ussel, composé d’une courte rame de 3 voitures Corail Intercités.
- Le 06/07/2014, fermeture de la section de ligne ferroviaire entre Eygurande-Merlines et Ussel, coupant ainsi la transversale Sud de Bordeaux à Clermont-Ferrand et Lyon.
- Le 11/08/2014, une UM2 de 2 automoteurs diesel bicaisses de la série X 72500 de la SNCF, en livrée TER Aquitaine, assure un TER Limoges-Bénédictins – Bordeaux-Saint-Jean.
- Le 12/08/2014, l’automoteur diesel-électrique tricaisses (type AGC) B 81649/650, en livrée TER Limousin bleue, grise, verte et blanche, élément 81850 en tête, assure un TER Limoges-Bénédictins – Périgueux.
- Le 04/04/2015, mise en service d’un nouveau train Intercités diurne « low-cost » à bas coût entre Paris-Austerlitz (06h58) et Bordeaux-Saint-Jean (11h27) / Bordeaux-Saint-Jean (18h30) – Paris-Austerlitz (23h09), composé d’une rame de 8 voitures Corail (640 places), et circulant uniquement les samedis et dimanches, avec réservation obligatoire et ce seulement par Internet.
- En mai 2015, une rame automotrice diesel bicaisses de la série X 72500 de la SNCF, en nouvelle livrée Aquitaine, assure un TER Sarlat – Bordeaux-Saint-Jean.
- En mai 2015, un automoteur diesel-électrique du type XTER de la série X 73500 de la SNCF, en nouvelle livrée Aquitaine, assure en solo un TER Périgueux – Agen.
- de juillet à début septembre 2015, faute de matériel moteur disponible de la série BB67400 de la SNCF, suspension de la circulation du train IC Bordeaux-Ussel, en pleine période touristique.
- Le 25/07/2015, deux autorails historiques monocaisse monomoteur diesel de l’association « Autorail-Limousin », les X 2844 es-SNCF, en livrée rouge et crème à toit rouge, et X 2907 ex-SNCF, en livrée bleue 202, gris 804 et blanc 708 avec toit bleu 202, assurent un train spécial Périgueux (05h26) –Bordeaux-Saint-Jean (08h43/17h35) – Limoges-Bénédictins (20h51).
- Le 21/08/2015, les deux autorails X 2241 et X 2245 de la SNCF encadrant la remorque XR 6072 de la SNCF, tous trois en livrée TER Aquitaine d’origine, assurent le TER n° 865780 Sarlat – Bordeaux-Saint-Jean.
- Le 04/09/2015, la locomotive diesel-électrique BB 67431 de la SNCF, en livrée « multiservices » gris-foncé 808, gris-argent 806 et rouge-vermillon 605, tracte le train IC Ussel – Bordeaux via Brive-la-Gaillarde et Périgueux, composé de 3 voitures du type Corail Intercités, toutes en livrée gris deux tons avec bandes blanches.
- Le 01/01/2016, fusion des Régions Aquitaine, Poitou-Charentes et Limousin.
- En 2016, mise en service quotidienne du nouveau train Intercités « low-cost » à bas coût entre Paris-Austerlitz (06h58) et Bordeaux-Saint-Jean (11h27) / Bordeaux-Saint-Jean (18h30) – Paris-Austerlitz (23h09), composé d’une rame de 8 voitures Corail (640 places), avec réservation obligatoire et ce seulement par Internet.
- Au début de l’été 2016, suspension de la circulation des rames tractées en Bordeaux et Ussel, par manque de locomotives diesel-électrique.
- Le 27/06/2016, les anciennes Régions Aquitaine, Poitou-Charentes et Limousin prennent officiellement le nom de Région Nouvelle Aquitaine.
- Le 01/07/2016, inauguration officielle de la ligne entre Oloron – Sainte-Marie et Bedous, par la Région Nouvelle Aquitaine.
- Le 02/09/2016, reprise de la circulation des rames tractées en Bordeaux et Ussel.
- Le 28/02/2017, inauguration de la LGV Océane (ex-TGV Sud-Europe-Atlantique) entre Tours et Bordeaux (340 km).
- Le 07/04/2017, une UM2 de 2 automoteurs monocaisse diesel de la série X 73500 de la SNCF, en livrée TER Aquitaine, assure le TER n° 865803 Périgueux – Agen.
- Le 01/07/2017, inauguration de la LGV Océane (ex-Sud-Europe-Atlantique) de Paris-Montparnasse à Bordeaux-Saint-Jean.
- Le 02/07/2017, mise en service de la LGV Océane (ex-Sud-Europe-Atlantique) Paris-Montparnasse (8h52) – Bordeaux-Saint-Jean (10h56) en 2h04 avec 23 relations « InOuI ».
- Le 29/07/2017, une UM2 de 2 rames automotrices diesel bicaisses X 72523 de la SNCF, en livrée TER bleue et grise, et bicaisses X 72585 de la SNCF, en livrée TER Limousin, assure le TER n° 865558 Bordeaux-Saint-Jean – Limoges-Bénédictins via Libourne.
- Le 17/07/2019, la rame automotrice diesel bicaisses X 72559/560 de la SNCF, en livrée TER Limousin, assure le TER n° 865234/5 Brive-la-Gaillarde – Bordeaux-Saint-Jean.
- Du 05/12/2019 au 02/01/2020, longue grève des cheminots français de la SNCF sur la réforme des retraites.
- Depuis (seit/da) le 15/02/2020 et (und/e) au cours du (im Laufe/durante) premier semestre (in erste Semester/in prima semestre) 2020, période de circulation restreinte pour les moyens de transport (Eingeschränkte Verkehrsdauer für Verkehrsmittel/circolazione limitata per i mezzi di trasporto) en raison de (in Verhältnis/per ragione di) la pandémie (Pandemie/pandemia) du coronavirus de la Covid’19.
- Le 25/08/2020, une UM2 de 2 automoteurs monocaisse diesel de la série X 73500 de la SNCF, en livrée TER Aquitaine, assure le TER n° 865801 Périgueux – Le Buisson.
- Le 26/08/2020, l’automoteur monocaisse diesel X 73554 de la SNCF, en livrée TER Aquitaine, assure le TER n° 865834 Agen – Périgueux. Ce train passe à Saint-Cernin-de-l’Herm dont la ligne est encore dotée à cet endroit de poteaux télégraphiques qui seront déposés très peu de temps après.
- Le 04/09/2020, la rame automotrice diesel quadricaisses du type Regiolis d’Alstom 84689M de la SNCF, en livrée blanche et bleue avec portes rouges, assure un TER Bordeaux-Saint-Jean – Montluçon.
- En décembre 2021, dépose de la passerelle en béton enjambant les voies de la gare de Périgueux.
- Le 20/10/2022, centenaire (100 Jahre/100 anni) de l’Union Internationale des Chemins de fer (UIC) / Internationaler Eisenbahnverband / Unione Internazionale delle Ferrovia, à Paris/Parigi.
- En 2023, la Supervision Technique de la Flotte (STF) de Bordeaux dispose de 50 autorails monocaisse diesel de la série X 73500 de la SNCF.
- En janvier 2023, pose de la nouvelle passerelle métallique enjambant les voies de la gare de Périgueux.
- Du 07/03/2023 au 06/06/2023, grève reconductible suivie d’une succession de journées de grèves perlées des cheminots pour défendre leur régime de retraite.
- En 2030, réouverture souhaitée de la ligne de 32 km entre Bedous et Canfranc et réélectrification complète en courant 25 kV-50 Hz de la ligne Pau – Canfranc, par la Région de Saragosse et la Région Nouvelle Aquitaine.